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Quelques gestes simples et efficaces pour la prévention de la maladie d’Alzheimer


On sait actuellement qu’il faut être vigilant dès qu’apparaissent les premières déficiences cognitives même légères, car elles constituent la phase transitoire entre le fonctionnement normal d'un cerveau et l'installation de problèmes plus graves comme les démences ou la maladie d'Alzheimer. Ces dégénérescences s'installent souvent de façon insidieuse.


Article invité et rédigé par Carol Panne, Santé Nutrition Mag


La proportion de nos populations touchée par ce type de souci de santé est de plus en plus importante et de plus en plus jeune. Les chercheurs annoncent que le chiffre actuel des personnes atteintes sera presque quadruplé dans les 40 années à venir, il est donc grand temps d'assurer une prévention efficace. Les traitements chimiques actuels sont pour ainsi dire pour la plupart inefficaces et occasionnent de très nombreux effets secondaires.

Voici donc quelques conseils préventifs utiles et efficaces à mettre en place

  • Faire du sport : Les scientifiques ont constaté que la protéine PGC-1-alpha (molécule du cerveau) permet de prévenir le développement de la maladie d'Alzheimer et du diabète de type 2, or on sait que l'exercice physique augmente les niveaux de cette protéine PGC-1-alpha. On sait maintenant qu’il existe une très forte corrélation entre le fait d'effectuer une activité physique modérée pendant la quarantaine et les risques que de développer des troubles cognitifs. Ces risques diminueraient de 39 % grâce à une pratique sportive régulière, alors qu’un exercice modéré enfin de vie permettrait une diminution de risques de 32 %. Un exercice intensif en aérobie durant six mois suffit à améliorer les fonctions cérébrales chez les personnes souffrant déjà de déficience cognitive légère. De toute manière, l’exercice physique constitue donc une excellente prévention à tous niveaux dans le domaine de la santé.

  • Éviter l'excès de fructose : une mesure essentielle, car son niveau d'absorption doit absolument être inférieur à 25 g par jour.

  • Absorber de fortes doses de vitamine B : principalement de la vitamine B12, des folates (B9) et des vitamines B de manière générale. Elles sont indispensables à la prévention des dégénérescences cérébrales. Leurs meilleures sources restent les légumes crus et frais que nous devrions consommer quotidiennement en grande quantité.

  • Rechercher les aliments les + antioxydants et principalement les anthocyanines ou anthocyanidines contenus dans les baies sauvages, et les fruits et légumes rouges-orangés.

  • Se supplémenter en acides gras de type oméga-3 : d'origine animale (poissons) mais aussi d'origine végétale (huile de lin, de périlla). Un apport d’oméga-3 (DHA) empêchent les dommages cellulaires occasionnés par la maladie d'Alzheimer, ils en ralentissent la progression et en diminuent les risques de développement.

  • Se supplémenter en vitamine D et en curcumine : dont l’association constitue une excellente prévention et remède en cas de maladie d’Alzheimer.

  • Déposer ses amalgames dentaires : afin d'éviter toute intoxication aux métaux lourds et notamment au mercure.

  • Éviter tous les apports de métaux lourds : notamment d'aluminium, pour cela éliminer les produits cosmétiques qui en contiennent (déodorants, champoing…), et les ustensiles de cuisine (antiadhésifs) qui en contiennent et surtout fuir à tous prix les vaccins. Rappelons que la plupart des vaccins contiennent à la fois du mercure et de l'aluminium, en plus d’autres adjuvants très neurotoxiques.

  • Stimuler continuellement les fonctions cognitives et mentales et s'ouvrir à de nouveaux apprentissages ou de nouveaux défis intellectuels permet d'entretenir les connexions nerveuses et éventuellement même d’en créer de nouvelles rendant ainsi le cerveau moins sensible aux lésions associées à la maladie d'Alzheimer.

  • Éviter toutes prises de médicaments chimiques (antihistaminiques, ceux pour contrôler l'incontinence urinaire), mais surtout bannir les somnifères, les antidépresseurs, les analgésiques contenant des narcotiques et toute la panoplie de médicaments agissant sur les neurotransmetteurs tels que les anticholinergiques qui bloquent acétylcholine. Il est actuellement certain que ces substances ouvrent grand la porte à ce type de démences.

  • Vigilance en cas d'opération et d'anesthésie générale : de nombreuses substances anesthésiques accélèrent ou provoquent les dégénérescences cérébrales. Dans ce cas, la personne se réveillera totalement amoindrie et dites-vous bien qu’elle ne récupérera jamais les fonctions cérébrales endommagées.

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